Négos salariales FY26 : Faites pleuvoir les zéros dans Peakon !!

Ce mercredi 28 mai s’est tenue la deuxième réunion de négociation pour les augmentations salariales FY26.
Pour rappel, lors de la précédente réunion, les trois organisations syndicales (CGT, Printemps Écologique et Solidaires Informatique) ont formulé une demande commune claire : une enveloppe d’augmentations de 10 millions d’euros minimum, soit environ 4,5 % de la masse salariale en France.

350 Millions pour les actionnaires et 5,9 millions pour les salarié•es, nous refusons l’indécence !

Lors de cette réunion, la direction a proposé une enveloppe d’augmentations de 3 % de la masse salariale en France, soit 5,9 millions d’euros.
Cette enveloppe indécente, presque deux fois inférieure à celle demandée par les trois organisations syndicales, est une insulte pour les salarié•es et leur travail, alors que, dans un même temps, l’entreprise distribue 350 millions d’euros aux actionnaires via l’OPRA.

Ce deux poids, deux mesures, ce mépris et ce manque de considération de la direction pour les salarié•es nous ont profondément choqué. C’est pourquoi la CGT et Solidaires Informatique ont décidé en commun de quitter la table des négociations.
Pour l’entreprise, ce n’est pas une question de moyens, c’est une question de choix. Le choix de la direction est clair : récompenser le capital, mais pas le travail et les efforts fournis par les salarié•es qui s’investissent chaque jour.

Peakon : Avalanche de zéros !

La direction regarde de près les résultats de Peakon. Montrons-lui notre mécontentement face à ce manque de reconnaissance.

Envoyons-lui un signal fort en mettant des 0 partout dans Peakon!

En bonus, ces mauvaises notes impacteront directement la rémunération variable de notre CEO (jusqu’à 635 000 € par an, en complément de ses 500 000 € fixes), c’est l’assurance que le message passe.
Si vous craignez de pénaliser votre management direct et afin de rester anonymes, voici un commentaire (optionnel) que vous pouvez copier-coller :

“Ces mauvaises notes sont une réponse à la politique salariale décidée par la direction.”

Le poids de nos revendications dans ces négociations ne relève que du rapport de force que les salarié·es et les syndicats peuvent engager avec la direction.
Sans ce rapport de force, la direction fait ce qu’elle veut et se moque de nous.





Communiqué intersyndical :

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